ANALYSE. Le gouvernement a tenu sa promesse de réformer en profondeur la formation professionnelle. Parler pour autant de révolution serait exagéré. La plupart des décisions inscrites dans la loi envoyée au Conseil d’Etat ne font que prolonger des mesures qui avaient déjà été amorcées.

Lorsqu’ils ont conclu leur négociation sur la formation professionnelle jeudi 22 février, peu avant 4 heures du matin, syndicats et patronat se sont quittés exténués mais satisfaits. CGT exceptée, tous ont loué des avancées réelles, la plus emblématique portant sur le passage de 24 à 35 heures du crédit annuel sur le compte personnel de formation de chaque salarié.

Alain Ruello  – lesechos.fr – Le 29/03

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